(Libre, demande compagnie...)

Depuis qu'elle venait à Beaux-Bâtons, Abigaëlle n'avait trouvé qu'un seul endroit où elle se sentant chez elle, la volière. Les iseaux y était libre et chez elle, il l'était aussi, dans une grande volière que son père avait fais construire pour elle, il y avait de ça des années, avant le tragique accident, qui avait causer la mort de celui-ci, il y avait de ça bientôt 10 ans. Que la vie passe vite, quand tu fais les choses que tu aime faire. Abigaëlle aimait bien le violon, se qui lui permettait de s'exprimé en toute liberté, sans dérangé sa mère car celle-ci croyait que Abigaëlle jouait une partition comme les autres, se qui n'était pas tout à fais vrai, car elle jouait des partitions sorcières qui se transformait par magie par rapport au sentiments de la personne qui jouait, se qui permettait à Abigaëlle de jouer une pièce triste quand elle l'était et une joyeuse quand elle avait se sentiment, se qui éatit bien rare, car son père lui manquait très souvent. Il était le seul à la comprendre, à comparé à sa mère.

Abigaëlle était à la volière car elle se sentait seule, mais cela ne l'aidait pas de venir ici, il n'y avait jamais personne. À moins que...

William avait reçu une lettre urgente, ce midi dans la Grande Salle, sa Tutrice lui avait envoyé son hiboux à moitié déplumé. Avec une vitesse hors du commun, il avait quitté sa bande à la table, traversé les couloirs bombés d'élèves impatients de manger, parcourut la moité du parc pour enfin montrer ses escaliers en colimaçons menant à la volière.

Il faisait un peu froid ici. Le Soleil n'avait encore eut le temps de réchauffer l'herbe rosée. La tête dans les épaules, ses mains enfouis dans ses poches, recroquevillé de froid, il arriva enfin dans la pièce ouverte et ronde, où dormait normalement son hiboux.

Il eut beau le chercher partout, il n'était pas là. Il avait probablement dû partir chasser et n'était toujours pas revenu. Il remarqua quelqu'un assise, seule, repliée sur elle même. William hésita d'abord, puis, s'avança vers elle. Il posa une main sur son épaule, lui demandant en même temps :

- Hé... quelque chose ne va pas ?

Il s'assit alors, près de la marche où elle c'était posée.

- Il fait tout de même un peu froid, tu ne veux pas rentrer avec moi ?

Abigaelle ne s'attendait pas à avoir de la compagnie. Et celui-ci lui demandait en plus, en lui mêtant la main sur l'épaule, si çca allait. Si il savait, tout les cauchemards qu'elle vait fait dans son enfance, à cause de la peur que sa mère la tue, comme elle avait tuer son père, un nom qui la chérissait autant que possible et qui comprenait mieux que personne sa fille, avec laquelle elle n'avait aucune affinité particulière, et qui lui avait enlevé se qui était le plus important à ses yeux.

*Au moins, se dit-elle, elle ne m'a aps enlevé ma volière, le dernier cadeau que papa m'a fait.*

Elle répondit au jeune étrangé, qui n'avait pas l'air trop jeune quand même:

"Non, ça va. Juste quelques souvenirs douloureux qui remontent, quand je viens ici."

Elle ne voulait pas tout lui dire, car elle ne le connaissait pas, et qu'elle n'aiamit pas dévoilé aux autres son passé, qui était plutôt macabre, disons, pour ceux qui n'avait pas vécu cela, comme lui, probablement. Elle se sentait vraiment seule en se moment, avec cette épreuve qu'elle avait dû vivre seule. Il lui demandait si elle voulait retourné au château, avec lui. Il avait vraiment l'air de gelé. Elle, cela ne lui dérangeait pas, mais tant qu'à decendre, elle était mieux de decendre avec lui, ça lui ferait un peu de compagnie! Alors elle lui dit:

"D'accord"

Elle lui répondit d'un ton plutôt voilé, mystérieux. Il semblait qu'il l'avait arraché à ses songes. La jeune fille lui expliqua qu'elle repensait à de "douloureux" souvenirs lorsqu'elle revenait ici. William se demanda c qu'elle fichait là alors ?

- Eh bien, c'est une raison de plus pour sortir d'ici, le passé appartient au passé, le futur à ton destin, le présent à toi, alors relève-toi, lui fit-il en la relevant du bras

"D'accord" fit-elle

William sortit en premier de l'endroit, regrettant de ne pas avoir trouver son hiboux. Il surprit la demoiselle qui paraissait le dévisager, gêné dans ses esprits, il détourna la tête. Il avait dû prendre cet air soucieux.

Abigaelle n'avait ps voulu le regarder croche, mais c'était plus fort que elle. Il avait tellement l'air bizarre, comme s'il cherchais quelque chose et qu'il ne l'avait trouvé. Mais elle préférais pas poser de questions, car cela l'avait mise dans le trouble quelques fois, sans qu'elle c'en rende compte et qu'elle puisse réagir.Alors elle ne dit rien, sauf:

"J'aime bien la manière dont tu vois la vie, je n'en serais jamais capable..."

Elle laissait toujours du mystère quand elle discutait, comme pour se cacher avant de se dévoilé à l'autre, pour qu'il reste plus longtemps avec elle, pour qu'elle ait un peu de compagnie, se qu'elle n'avait pas très souvent. Elle se sentait très souvent seule, se qu'elle ne révélait pas souvent depuis la mort de son papa chéri... Il lui manquait tellement. Elle decvait avoir une face bizarre a se moment,car l'inconnu avait l'air de se renfrogné. Elle ne voulait pas qu'il l'a laisse seule.

» C'est quoi ca ? [libre]
» Lecture au bord de l'eau (libre)
» Demande de RP [Fin]