Aujourd'hui le jeune Erin Remistilonamekina se retrouvais seul dans Beaux-batons, car pratiquement la moitier des élèves étant en Weeck end était parti se promener a champs-au-fleur, les couples était surment chez dubois et les groupes d'amis aller surment boire un verre a la licorne bleu ou encore chez Zonkoo ou chez Honneyduckes, peut être que les plus aventureux iraient visiter la cabane marrante, car certaines personnes dise que c'est la maison la plus hantée de grande bretagne de quoi atiser la curiosité vous ne trouvez pas, et puis peut être que certaisn élèves irait envoyer une lettre a leurs cher parents à la poste de champs-au-fleur.
Bon revenons à notre jeune aveugle Erin, cette jeune personne se trouvais donc seul dans les grands couloirs du château du moin non il avait toujours son aigle mais bon, à se promener tranquillement, a rêvasser de milion de chose, se demandant parfois si il rencontrerais une fille dans poudlard hormis sa soeur qui saurait comment l'accepter dans Beaux-batons, car jusqu'à présent il n'avait fait la recontre d'aucun d'entre elles et eux, c'était seulement des hommes, certain avait étez fructueux et d'autre énervant, dans certaine de ses rencontre Erin était intervenue et dans d'autre pas, le seule dans laquelle il n'était pas encore intervenue c'était cellui avec une personne qu'il considére comme sa meilleur amie Angel , jeune fille qu'il avait rencontré à la table des Koagriff et avec qui il s'était liée d'amitier presque imédiatement.
Il marchait et marchait dans le couloir du cinquieme étage longant le mur lorsqu'il tomba nez à nez avec un tableau étrange enfin a ce qu'il ce doutait, en faite il s'agissait plutôt d'une tapisserie, le jeune homme leva les yeux sur cette tapisserie mais rien ne se passait il n'y voyait guerre mieux , puis le jeune homme passa son chemin, lorsqu'il remarqua soudainement toujours en longeant le mur que la tapisserie avait laisser place à une porte tient cela était étrange, comment une tapisserie peut elle disparaître aussi vite pour laisser place a une porte, remarque c'était Beaux-batons et on nous sommes dans le monde de la magie tout est possible me direz vous, le jeune homme qui quelques instant rêvasser en pensant a des anges et autres petit futilité dans ce genre que seule Nina pouvait avoir, mit sa main sur la poignet de la porte, la tourna et tira la porte vers lui, et là a sa grande stupéfaction le jeune homme avanca et decouvrit en avancant dedans non pas une plume ni deux plumes, mais pleins de plume et ces plumes recouvraient le sol de la piéce jusqu'au plafond a ce qu'il semblait etre, le jeune homme posa un pied, puis un deuxiéme en faisant attention de ne pas les abîmées, puis referma la porte derriére lui, c'était vraiment trés étrange, puis il leva la tête au plafond et bizarement une lumiere l'aveuglait ce n'était pas un plafond qu'il y avait mais un ciel, un ciel auquel il ne pourat vous le decrire, et des fenêtres était au mur laissant entrée la lumiére du soleil car le jeune homme longait toujours le mur, le jeune homme se crût alors au Paradis, oui c'était bien sa c'était le Paradis, le jeune homme ce laissa alors tomber dans le matelas de plume qui recouvrais le sol, il avait un sourir jusqu'au lévre jamais il n'avait était aussi heureux dans sa vie peut être que c'était cette piéce qui lui procurer tant de bonheur en si peu de temps.
Mais le jeune homme n'avait pas remarquer que avant qu'il n'arrive la porte était mal fermée, il se releva donc et se croyant sans danger il heuta quelqu'un houla il etait dans tous ces etat que deja il venait de percuter un ange non quand meme pas a ce point il dit a l'aveuglette mais son aigle ne lui disait rien il restait elle devait donc lui etre connue cette personne il tenta
"Nina?????"
Il se releva mais il n'avait pas etez tres ammochez car le tas d eplumes les avait comme sauver on peut dire d'une grande percussion il chercha la personne dans le tas de plume auquel une lui chatouillait le nez auquel il eternua ce qui arriva sur la personne et la motier sur lui il sortie donc son mouchoir pour s'essuyer la main ce qu'il fit mais...