Vu et Imprévu

William qui commençait à se balancer sur son pied droit, puis à retomber sur le gauche, surssauta lorsqu'il entendit la jeune fille entrer dans sa tête, il était à présent si décontraté, qu'il en oublié de fermer son esprit. Il faillit se fouller la cheville, virant de surprise, sur son côté gauche.

Il pointa son doigt, aussitôt, sur la jeune fille, comme accusateur, puis le bassa lentement. Il ne pouvait pas lui reprocher. Il même avait lu les pensées de Luna sans le vouloir, se saurait injuste de lui faire la leçon qu'il aurait dû reçevoir.

C'était qui ça ? Interrogea la conscience à l'affut, elle qui entendait rarement les voix aussi proches que celle de Jenna.

*Personne... t'inkiète*

Tu vas répondre quoi ? Fais gaffe, les filles sont super succeptibles sur les questions comme ça !

- Je pense rien de toi, mentit-il

Elle va se vexer... t'aurais pas dû

*Alors elle se vexera, elle n'a pas à entrer comme ça dans mon... !!!*

Alors là, t'exagères ! Et c'est toi qui dit ça ? Bah t'es pas géné !!!

Jen écouta attentivement ce que William lui disait. Son visage restait de glace - sans expression. Elle ne voulait pas montrer ses sentiments. Elle le fixa droit dans les yeux et attendit un moment. Elle avait cru bien faire en lui parlant dans son esprit. Elle n'avait pas fouiller, que parler. Mais le Liondor avait l'air furax.

- Écoute si je te dérange je vais partir.

Les yeux de Jenna redevinrent pâle, sous les yeux de William. Ils étaient si étrange. Pas autant que le 4e année cependant. Il était tellement ... incompréhensible!

- Merci au fait. J'aime mieux que tu penses rien de moi que tu me détestes.

Elle changea de position. Celle-ci devenait très inconfortable.

- Je vais partir ok? Je t'ennuierai plus.

Jenna lui tendit la main puis se ravisa. Elle détourna son regard et lui tendit la main de nouveau au cas ou il veuille la prendre comme signe d'au revoir lorsqu'il la retint ...

William l'avait agripper au dernier moment. Comme un geste folie qu'il ne pouvait s'empêcher de calmer en le faisant. La Liondor se retourna vers lui, l'air satisfaite. Elle devait savoir devinée qu'ille ferait, comment, il ne le savait pas. L'instinct des femmes, sûrement.

William se sentit embarrassé, il ne pouvait pas expliquer son geste, ne savait pas quoi ajouter. Et Jenna semblait 'attendre, mais qu'attendait t'elle ? Que voulait-elle qu'il dise ? Il ne savait pas et ne voulait pas savoir.

Il se massa la nuque pour la énième fois, ça marque lorsqu'il se sentait intimidé ou gêné. Mais la demoiselle de fit rien. Elle resta là, à attendre...

*Mais attendre quoi ?*

Aucune idée, dit-lui simplement que t'es désolé, mais que si elle veut se casser, bah... qu'elle se casse...

- D... Désolé, répéta-t-il, enfin... je voulais pas dire que je te déteste, nan, j'ai jamais dit ça ! Nan, nan, mais... c'est que... la question... hem... j'ai pas envie de répondre...

William se rendit alors compte qu'il tenait encore la main de Jenna dans la sienne. Il la retira (comme tu l'as déviné ^^). Il ne savait pas quoi dire, pas quoi répondre,pas comment formuler. Puisqu'il n'y avait aucuns garçons, pourquoi ne pas... se faire des amiEs ?

Allez, quoi... fait pas le débile...

*Je ne fais pas mon débile ! C'est toi la débile !*

Dis-lui TOUT DE SUITE ou je te jures que sinon c'est moi qui vais lui dire

*Haha ! Mouais, bien sûr...*

Tu ne me crois pas ?

*Nan*

La conscience vira aussitôt vers Jenna. Elle resta alors deux minutes, et lui avoua tout. William fixa Jenna. Il était bizarre de se dire que sa conscience était en elle. William se demanda alors à quoi ressemblerait sa conscience s'il avait un corps et déjà, était-elle un homme ou une femme ? Lorsqu'il la sentie alors revenir, il la questionna aussitôt :

*Qu'est-ce que tu lui as raconté ?*

Je ne te le dirais pas

*Tout de suite !*

Nan, nan, nan

William serra alors son poing. Il ne savait qui tapper. Ilne pouvait quand même pas se frapper la tête. Il serra si fort que sa main trembla. Il était de nouveau énervé. Il en fallait décidément peu. Il questionna la jeune fille, sans oser la regarder, de peur de se qu'avait raconté sa conscience.

- Qu'est-ce que j'ai dis ?

[Tu peux absolument TOUT lui faire dire. Elle est tellement... vexée qu'elle racontera TOUT, même des mensonges. (C'est pas vrai !!!)]

[Désolé, je raconte toujours la même histoire alors voilà : ma mère refusait de me donner l'accès à mon ordinateur, et je ne pouvais aller sur le sien que trop peu pour répondre. Mais bon, j'ai eut le temps de faire le pleins d'idées ! Bonne Lecture !]

L'intensité des mots sembla ne rien présager rien de bon. Mais qu'avait-elle pu dire encore ? Qu'est-ce qu'il lui avait prit ? Et surtout, à quoi cela pouvait-il lui servir ? A croire qu'elle avait prit goût à la liberté depuis qu'elle avait prit possession de lui.

Qu'est-ce que tu attends pour répondre ?

*Toi, tu te la fermes ! Je ne t'ai rien demandé !*

C'est pas très gentil...

*Et ce que tu viens de faire ça l'était peut-être ?*

J'en ais marre d'être ton seul compagnon, je comprends pas pourquoi tu te renfermes sur toi

*Je t'ai dis de...*

Mais tu dis toujours pleins de truc, mais t'assumes jamais !

*Alors qu'est-ce que tu veux que je fasses ?*

Que tu te fonde dans l'école, tu peux pas vivre sans amis, c'est impossible

*Mais toi tu me suffit*

Oui, mais moi j'existe pas, pas vraiment, je peux pas faire tout ce que les vraix gens peuvent te faire... t'envoyer une carte d'anniverssaire, te dire bonjour, te serrer la main...

*Ça m'est complétement égale, j'en veux pas de tes cartes d'anniverssaires

Mais c'était qu'une image ! Oh ! Tu comprends jamais rien !

*C'est plutôt toi qui explique pas !*

Moi, je veux juste que tu te fasses des amis

*Génial... quoi de plus distrayant ?*

Laisse tomber tes bouquins et sort un peu ton nez de ta planète ! Et répond, sinon elle va croire que t'es sourd.

William ouvrit alors la bouche puis il sentit sa conscience lui pousser le bouchon de sa gorge. Il s'étouffa. Elle l'avait forcer à parler. Il se calma, ferma son esprit. Tout était si compliqué de parler Français, fermer son esprits, et tout à la fois. Il sentait se même bouillonnement incessant de colère. Et entrer en colère était pour lui une source de souagement car il gardait plus facilement son esprit fermer, étant si énervé qu'il serait impossible d'y pénêtrer. Il sortit alors avec brusquesse, lui qui était resté calme si longtemps, Jenna ne sembla rien comprendre.

- Oui, bien sûr, alors hem... je t'ais posé une question ! S'exclama-t-il, Un, deux, un, deux ! Vous m'entendez ? Allo la Lune ici la Terre, vous nous recevez ? T'as pigé ou pas ? Qu'est-ce-que-tu-as-en-ten-du ? Mâcha-t-il, Oh, attend, non, ça ne fait rien, je m'en fiche complétement de toute façon, ouais, c'est ça, ça m'est égal ! Je...

Il sentit son bras frémir, mais ce n'était pas lui qui le contrôlait. Ilsemblait prit d'épilesi, ou quelque chose comme ça. Il se rassit, tenant fermemant son bras tremblant.

Il lui sembla que ce ne devait pas être un hasard. S'il n'y avait pas eut ce problème, il serait déjà partit. Mais quelqu'un ne semblait pas de cet avis.

William s'abattit sur un côté. Il se ratrapa à une branche qui cassa aussitôt, le faisant tomber. Tout était passé si vite, le ciel, les gouttes et la pluie. Elle s'abattait un en rideau argenté et si violemment que les gouttes martelaient le sol en tombant. Il ne faisait maintenant plus aussi clair. Le ciel était devenu sombre et les grands arbres masquaient encore plus la lumière. La fôret était désormais plongé dans une légère pénombre.

William entendit au loin Jenna. Elle ne semblait pas vouloir le lâcher. Il ne put pas l'entendre, la pluie faisait tant de bruit ! Son bras était prit de secousses incontrôlables. La douleur lui monta à la tête et y produisuit un son aigue désagréable. Il entendu encore Jenna au loin :



Il avait déjà entendu ça quelque part. Quelqu'un lui avait déjà fait la remarque. Il repenssa à Luna et à sa salle commune, il entendit une dernière fois Jenna murmurer et puis il sentit qu'il en était devenu sourd. Il n'entendit plus rien que ce son aigue.

Il aurait voulut lui dire, essayer de l'expliquer que ce n'éait pas ça safaute, mais c'était plus fort que lui. Il aurait voulut lui crier de se taire, mais lorsqu'il ouvrit la bouche il n'entendit même pas sa propre voix. Il lui sembla alors avoir parlé en Anglais sans s'en rendre compte.

Il comprit alors que tout ça ne devait pas être du simple hasard. Il ne lui était jamais arrivé d'avoir deux crises dans la journée. Il pensa alors à une malédiction comme celle des Loups-Garous à la Pleine Lune. Sauf, que ce n'était pas la pleine Lune aujourd'hui, mais c'était hier. Il comprit alors que lui était réceptif au Lendemain de la Pleine Lune.

Il resta appuyer contre cet arbre beaucoup plus agé et attendit tenant toujours dans osn autre main, la branche cassée. Il sentit le sol bouger inormalement, il sentit tout le paysage tourner de plus en plus vite pendant qu'il essyait péniblement de se relever. Il sut alors qu'il était également de venu aveugle.

Sa malédiction consistait à supprimer, tous les Lendemains de Pleine Lune, son sens de l'ouïe et de la vue, les plus sollicités par son corps, afin de faire une pause pour concentrer son énergie vers son esprit. Le principe était simple mais très contraingnant. Il essaya de trouver un appui à tâtons pour se redesser. Il possèdait toujours le sens toucher, ce qui lui avertit que la pluie ne s'était toujours pas arrêtée.

Il comprit tout de suite, que sa conscience devrait bientôt être ses yeux et ses oreilles. Comment allait-il faire pour ses prochains cours ?

Jen allait encore une fois partir car elle commençait à grelotter violemment. Ses dents claquaient et lui faisaient un mal de chien. Ses cheveux et ses vêtements lui collaient à la peau et rendaient ses mouvements plus difficiles. Elle voulait partir, laisser le 4e année dans la foret avec sa tête de mule et ses crises de colère. Mais quelque chose attira son regard. William avait du mal à rester debout et à se controler. Elle cru voir qu'il était devenu aveugle et qu'il devenait sourd. Mais quelle mouche le piquait tout à coup??!!?
La jeune femme s'approcha de lui et regarda de plus près. Il tremblait de tous les membres de son corps et ses macheoire étaient litteralement crispée. Lorsqu'elle posa sa main sur le bras de William, la pluie cessa et ses tremblements aussi.
Jenna le traina jusqu'à une petite plaine non loin des grottes et fit sécher doucement l'herbe sous leurs pieds. Elle coucha le Liondor dans les hautes herbes. Celui-ci avait perdu connaissance.

* Comment faire ... pour ... ah non! Jen tu devrais le laisser tranquille une bonne fois pour toute! Il ne veut pas de toi, c'est clair, net et précis dans sa tête. Peu importe ce que la voix t'as dit, William ne veut pas de toi. Il ne veut pas de toi. IL NE VEUT PAS DE TOI. Jenna! Fait toi a cette idée et va-t-en. *

La 6e année se leva aussitôt et fit quelques pas en direction du château lorsque la voix du jeune homme se fit entendre. Il l'appellait ...

La crise avait été si forte qu'il en avait perdu connaissance. Pendant un moment, il n'avait plus rien ressentit, ni le vent, ni la pluie. Il ne s'était d'ailleur même pas rendu compte d'avoir sombré dans l'inconscience, c'était arrivé trop vite.

Lorsqu'il s'était rééveillé, il remarqua tout de suite que par miracle, il n'était plus aveugle. Il voyait bien maintenant les hautes herbes se balancer dans le vent. La pluie avait dû s'arrêter brusquement. humidité du sol en témoignait. William entendit alors des pas disparaître. Jenna sûrmenent.

Quand il se redressa, il eut l'impression de vivre au ralentit face à tous ces évéments si rapides. Il apperçut Jenna au loin, rejoindre le château. Mais il n'essaya pas de la rejoindre.

Elle avait raison, et combien de fois elle avait eut raison ? Soit il devait être gentil et se calmer soit il pouvait piquer sa crise mais rester seul. Mieux valait Jenna. Elle avait l'air pressé, sans doute avait-elle cours ou occupé.

- Alors au revoir, salua-t-il de loin, en agitant faiblement la main

William sortit alors son livre de étamorphose et décida de sécher entièrement son cours. De toute façon, il allait bientôt se terminer. Et dans la craint d'une autre crise, il préféra rester à l'écart des autres. S'ils l'emmenait à l'infirmerie ? L'idée le fit frissoner. Il préfèrait rester seul que d'y être expédié par son professeur.

Il espérait enfin que Jenna ne lui donnerait pas une trop mauvaise réputation, si elle racontait lla scène à ses amies. Un nouveau devai savoir dégager une bonne impression pour intéresser tout le monde à son sujet. Chose, que William avait beaucoup de mal à faire.

[Bon, et bien... c'est comme tu veux, tu peux finir ici.]

Sujet terminé ... on se retrouvera dans un autre poste ^^